(...) "Si la CFTC reconnaît évidemment à ses adhérents le droit de se mobiliser en leurs noms et d’exprimer leurs colères, elle a décidé de ne pas s’y associer en tant qu’organisation.
Les raisons sont multiples : des mots d’ordre souvent très flous quand ils ne sont pas contradictoires ; des leaders qui mettent parfois en cause la légitimité des partis politiques comme des syndicats ; des appels à la « bordélisation » récupérés par des présidentiables pressés…"
Dans la rue le 18 septembre mais pas le 10, Cyril Chabanier, le président de la CFTC s'explique :