En fonction du risque que vous souhaitez prendre et de la rentabilité espérée.
- Le Fonds Schneider Monétaire
Ce fonds présente un risque très faible, mais a uneperformance légèrement négative depuis plusieurs années.
La performance de ce fonds devrait devenir légèrement positive avec la hausse des taux d’intérêts de la BCE.
- Le Fonds Schneider Energie Solidaire
C’est un fonds socialement responsable (ISR) investi à 95 % en obligations auprès d’émetteurs respectant des critères sociaux et environnementaux et à 5 % auprès d’entreprises solidaires. De par son positionnement, ce fonds suit les évolutions du marché obligataire.
- Le Fonds Schneider Diversifié
Ce fonds, composé d’actions et d’obligations, pâtit de la baisse des actions et des obligations. La part d’obligations (environ 45 %) contenue dans le fond amortit les risques de forte fluctuation de la bourse.
- Le Fonds Schneider CM-AM Conviction 3/7 PME-ETI (PERECO uniquement)
Investi en action de PME, ce fonds a chuté de 45 %, soit la plus forte correction des fonds en 2022, les investisseurs craignant une récession qui impacterait en premier les PME.
- Le Fonds Schneider Dynamique
Ce fonds, investi à 95% en actions internationales, a perdu 17 % depuis 2022. Sa performance dépend des estimations
Sur une longue période, les actions sont un placement plus rentable que les fonds monétaires ou obligataires mais elles peuvent évoluer brutalement à la baisse en cas d’événement majeur.
Cependant, au vu de la situation géopolitique, les bourses ne devraient pas progresser significativement avant l’annonce des résultats 2023.
- Le Fonds Schneider Actionnariat (PEG uniquement)
Ce fonds, investi à 100 % en actions Schneider, reflète les hausses ou baisses du titre auquel le dividende s’additionne (en 2021 : +48%) Depuis le début de l’année, l’action Schneider a perdu 30% alors que le CAC 40 a perdu 16%.
- Le Fonds Schneider Obligataire (PERECO uniquement)
Investi en obligations d’entreprises, ce fonds a subi une baisse de 10% depuis début 2022. Les taux d’intérêts des banques centrales augmentent ce qui fait baisser les obligations, avec un impact direct sur la valeur des fonds obligataires.
Les taux devraient continuer à augmenter et donc les obligations devraient continuer à baisser, mais plus lentement (risque de défaut de l’émetteur déjà pris en compte).