Ce n’est pas ton métier qui t’épuise. C’est de devoir l’exercer en mode survie.
Tu aimes ton boulot. Tu crois en ce que tu fais.
Mais au quotidien, tu passes ton temps à composer avec :
- Des outils qui plantent.
- Des consignes contradictoires.
- Des urgences qui s’accumulent.
- Des managers débordés ou absents.
- Des alertes ignorées, parce que “ça attendra demain”.
Alors
- Tu t’adaptes.
- Tu fais le tampon.
- Tu gères les tensions, les oublis, les flous.
- Tu assures, même quand tu n’en peux plus.
Tu ne craques pas parce que tu n’aimes plus ton travail.
Tu craques parce que tu portes ce que personne ne voit.
Et ce poids-là, il finit toujours par t’écraser.